Ça devait arriver. Le phénomène allait s'essouffler, perdre de son amplitude, c'était écrit dans le ciel ou plutôt dans le peek incroyable qui portait cette étrange bibitte aux nues du net, il n'y a pas si longtemps. Justement parce que le succès fut si rapide et si fulgurant, la chute risquait d'être aussi brutale que l'ascension. " Si l'entreprise continue de cette façon, les Têtes à claques ne seront plus là dans les prochains mois ", avertit André Richelieu, professeur de marketing à l'Université Laval et expert en gestion de marque cité dans le magazine les Affaires du 1er novembre. Quand la bande des têtes à claques de Michel Beaudet est arrivée sur le net, ce fut la surprise et le succès automatique. Puis, l'irrésistible montée en popularité de Raoul, Johnny Boy et Uncle Tom et ses Willy Wallers. Les talks-shows, les reportages, TLMP, la machine est en marche et grave! «Ils» sont partout!
Or, au moment où Beaudet est plus occupé à gérer le succès et donner des entrevues qu'à écrire des capsules... elles sont un peu moins bonnes, font remarquer quelques langues sales. Mais qu'importe, les médias sont à broil et le site bat des records. Quand les premières bébelles des Têtes à Claques apparaissent dans les dépanneurs, certains commencent à être agacés. On dirait alors que les langues sales se multiplient au même rythme que les cossins. Quand Radio-Canada, avec de l'argent publique annonce qu'elle achète la série de Beaudet à fort prix (et pour trois ans!), les langues se délient et protestent. Est-ce un bon placement de la société d'État que de payer pour quelque chose qui était gratuit sur Internet et dont on venait de faire un DVD en plus? Pas sûr.
Or, au moment où Beaudet est plus occupé à gérer le succès et donner des entrevues qu'à écrire des capsules... elles sont un peu moins bonnes, font remarquer quelques langues sales. Mais qu'importe, les médias sont à broil et le site bat des records. Quand les premières bébelles des Têtes à Claques apparaissent dans les dépanneurs, certains commencent à être agacés. On dirait alors que les langues sales se multiplient au même rythme que les cossins. Quand Radio-Canada, avec de l'argent publique annonce qu'elle achète la série de Beaudet à fort prix (et pour trois ans!), les langues se délient et protestent. Est-ce un bon placement de la société d'État que de payer pour quelque chose qui était gratuit sur Internet et dont on venait de faire un DVD en plus? Pas sûr.
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