
Saturation publicitaire
Il est clair que les Têtes à claques ont été surexposées. Au début de 2007, les marionnettes aux yeux exorbités dénommées Raoul, Monique, Uncle Tom et autres commandant du vol DC-132 ont été utilisées pour faire la promotion de cellulaires de Bell Canada. Puis, ce fut le tour à partir de mai de jus Lassonde vendus chez Alimentation Couche-Tard. En juin, d’une collection de T-shirts vendus chez Zellers, L’Aubainerie, etc.En août 2007, Gabriel, Samuel et les autres débarquent en France. L’opérateur mobile français SFR lance la campagne «Ça va ouatcher» pour promouvoir un nouveau forfait destiné aux moins de 25 ans. À noter que celle-ci a remporté en juin dernier le 22e Grand Prix Stratégies/La Poste, qui récompense les meilleures initiatives françaises en marketing relationnel et opérationnel. Elle comprenait notamment un micro-site qui a enregistré 400 000 visiteurs uniques et un millier de participants à un concours en ligne. Résultat : la marque en a pris un coup auprès du grand public. Mais, peut-on aller jusqu’à dire que celui-ci est fatal? L’équipe de Beaudet semble persuadée du contraire, et relève les manches pour s’en sortir…
Exporter le concept à l’international
Le samedi 16 août, le jour anniversaire des deux années d’existence du site Web, sera dévoilée la nouvelle version des Tetesaclaques.tv. Celle-ci sera davantage orientée vers les internautes français : possibilité de visionner les clips avec sous-titres, nouveaux clips inspirés des Français plus que des Québécois, etc. Et surtout, l’intégralité des clips sera disponible. En septembre prochain doit être lancée la version anglaise des Têtes à claques. Les personnages ne devraient pas être spécifiquement nord-américains, histoire de cibler le public le plus large possible. Enfin, il serait également question d’un projet de site Web en espagnol.
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