La mention du «copyright» n'aurait notamment pas figuré sur certains t-shirts. Calego aurait aussi mis en marché des produits dérivés non approuvés ou de "qualité inacceptable". De plus, Calego n'aurait pas remis les rapports de vente ou de comptabilité et n'aurait pas payé les redevances selon le délai prévu.En juin dernier, des représentants de Salambo auraient rencontré Stephen Rapps, président de Calego. Salambo se serait alors plainte de certains produits dérivés non conformes ou non approuvés.Le 3 juillet, Salambo révoquait le droit de Calego de produire et de mettre en marché les produits fautifs. Le même mois, une entente de rétrocession Retrocession Phase-Out Agreement était conclue et les articles violant les termes de l'entente devaient être rappelés et retirés du marché avant le 31 août. Calego devait aussi arrêter de développer et de vendre des t-shirts des Têtes à claques. Salambo allègue que Calego n'aurait pas respecté cette entente de rétrocession. Toujours selon la requête, les représentants de Salambo auraient essayé sans succès de rencontrer les représentants de Calego en septembre. Le 10 octobre, Salambo résiliait par courriel son entente avec Calego. Deux jours plus tard, Calego avisait qu'elle contestait cette résiliation.Le 29 octobre, les avocats de Salambo envoyaient finalement une mise en demeure à Calego. Calego aurait l'intention de continuer à vendre les produits dérivés des Têtes à claques jusqu'à l'expiration du contrat, en juin 2009.
mercredi 21 mai 2008
Les Têtes à claques devant les tribunaux
La mention du «copyright» n'aurait notamment pas figuré sur certains t-shirts. Calego aurait aussi mis en marché des produits dérivés non approuvés ou de "qualité inacceptable". De plus, Calego n'aurait pas remis les rapports de vente ou de comptabilité et n'aurait pas payé les redevances selon le délai prévu.En juin dernier, des représentants de Salambo auraient rencontré Stephen Rapps, président de Calego. Salambo se serait alors plainte de certains produits dérivés non conformes ou non approuvés.Le 3 juillet, Salambo révoquait le droit de Calego de produire et de mettre en marché les produits fautifs. Le même mois, une entente de rétrocession Retrocession Phase-Out Agreement était conclue et les articles violant les termes de l'entente devaient être rappelés et retirés du marché avant le 31 août. Calego devait aussi arrêter de développer et de vendre des t-shirts des Têtes à claques. Salambo allègue que Calego n'aurait pas respecté cette entente de rétrocession. Toujours selon la requête, les représentants de Salambo auraient essayé sans succès de rencontrer les représentants de Calego en septembre. Le 10 octobre, Salambo résiliait par courriel son entente avec Calego. Deux jours plus tard, Calego avisait qu'elle contestait cette résiliation.Le 29 octobre, les avocats de Salambo envoyaient finalement une mise en demeure à Calego. Calego aurait l'intention de continuer à vendre les produits dérivés des Têtes à claques jusqu'à l'expiration du contrat, en juin 2009.
Michel Beaudet = Têtes à Claques.TV
On pourrait même dire que le rire n'est pas un ingrédient essentiel lorsqu'il crée une capsule: "Quand j'écris, j'essaie de rendre le dialogue le plus vrai possible. Je n'essaie pas d'écrire des textes de stand-up avec des punchs toutes les deux lignes. Je dirais même que la formule derrière les capsules est née d'un accident, car j'écrivais mes textes avant tout pour qu'ils fonctionnent sur le plan technique. Par exemple, le premier "Johnny Boy" ("Aye Johnny Boy, on s'en va au Café des éclusiers", ça vous dit quelque chose?) est à moitié improvisé, mais les gens ont tripé dessus. J'ai donc tenté de garder cette spontanéité-là, de ne pas sur-écrire mes textes", dit-il. En fait, ajoute Michel, la magie des Têtes à claques se produit toujours durant le tournage: "Quand je mets mes fausses dents et que je place ma tête dans la guillotine (pour le tournage, s'entend), c'est là que ça se passe. J'improvise beaucoup dans la plupart des capsules."
Tête à Claque n'ont plus l'attrait de la nouveauté
Or, au moment où Beaudet est plus occupé à gérer le succès et donner des entrevues qu'à écrire des capsules... elles sont un peu moins bonnes, font remarquer quelques langues sales. Mais qu'importe, les médias sont à broil et le site bat des records. Quand les premières bébelles des Têtes à Claques apparaissent dans les dépanneurs, certains commencent à être agacés. On dirait alors que les langues sales se multiplient au même rythme que les cossins. Quand Radio-Canada, avec de l'argent publique annonce qu'elle achète la série de Beaudet à fort prix (et pour trois ans!), les langues se délient et protestent. Est-ce un bon placement de la société d'État que de payer pour quelque chose qui était gratuit sur Internet et dont on venait de faire un DVD en plus? Pas sûr.
mardi 20 mai 2008
Les têtes à claques de retour
Très rapidement, le site internet des Têtes à claques devient le point de ralliement des initiés ; rendez-vous toutes les semaines pour télécharger avec impatience la nouveauté des Têtes à claques. Le bouche à oreille aidant, la popularité des clips de Tête à claques explose ! Et quel succès ! Le clip de L’Halloween a consacré les Têtes à claques, les transformant aussitôt en icône de l’humour. Beaucoup de projets à venir pour eux : une version anglaise des sketchs, les Têtes à claques à la tv … Fiers de leur ambition et de leurs talents, the sky is the limit !